compte ses pétales
Même quand ils dorment
à poings fermés
ou sur leurs deux oreilles,
les cyclopes ne dorment
que d'un œil.
Quand on est dans la lune,
on comprend mieux
ceux qui ont la tête dans les nuages.
Je me suis laissée séduire et emporter par ces petites pensées.
A leur lecture, des sourires sont apparus dans le bureau ... sur le visage de mes collègues et sur le mien... J'espère qu'il en sera de même pour vous.
Une étonnante poésie s'en échappe et le côté légèrement décalé leur donne une touche de charme.
Le cafard n'y est pour rien
si parfois les hommes ont le cœur gros.
Le bourdon non plus d'ailleurs.
Je suis moins fan des illustrations, moins convaincue que d'habitude par cet illustrateur de renom (pardon Régis Lejonc!).
Question de goût me direz-vous ?
Ceci dit, elles accompagnent gentiment, avec parfois une pointe d'humour
ces petits textes sans leur faire ombrage.
Ce recueil vous attend et je compte sur vous pour me donner votre avis.
Une petite dernière :
Moi,
à la place du Petit Chaperon rouge,
je serais parti en courant.
Sylvie
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